COACH FAMILIAL ou conseiller, 2 options ?
Coach familial ou Conseiller : 2 options
1.0. Coach familial ou conseiller conjugal, qui consulter ?
- J’identifie les solutions à mon problème en faisant une analyse de ma situation : cela me donne le diagnostic et les bras de leviers envisageables.
- J’applique les mesures en agissant : sans passer à l’action, rien ne changera !
2.0. Je choisis de me faire accompagner par mon coach familial :
2.1. Prise en main rapide de la situation grâce à mon accompagnement familial :
3.0 J’aimerais entreprendre seul mon projet et demander juste l’aide indispensable :
3.1 Je recours au professionnel uniquement pour identifier mes solutions :
2 options : j’analyse ma situation avec mon coach familial ou avec mon conseiller :
3.2 Je fais ma propre analyse et la valide avec mon coach familial :
Agir sans plan d’action (ou avec un plan irréalisable pour toute sorte de raison) me fait courir le risque de ne pas prendre la bonne décision.
3.2.1 Commencer par l’analyse :
3.2.2 Mon analyse doit être complète :
J’hésite entre divorcer ou sauver ma famille, entre demander la garde partagée ou exclusive : à défaut d’étudier toutes mes options, je cours tous les risques d’aboutir à un diagnostic partial.
Diverses situations et questionnements à approfondir :
- Estime de soi : je m’explique ce que je ressens et ce qui se joue en moi.
- J’espère changer ici ou là, mais sans effet. M’interroger si je cherche vraiment le changement ?
- Ainsi, je souhaite divorcer, mais ai-je assez fait pour construire ou sauver mon mariage ?
- Oui, je désire sortir de ma crise conjugale, néanmoins que faire ?
- Mon désir de divorcer va à l’encontre de l’intérêt de mes enfants : rester et oublier ma personne ou surmonter ma culpabilité, quitte à casser ma famille ?
- De plus, nous souffrons d’une difficulté de communication dans notre couple. Par où commencer ?
Étapes importantes :
- Plus mon étude est affinée, plus j’anticipe mes actions.
- En veillant à ne pas dépasser mes limites exigées par mon plan d’action (potentialité d’agir, affect émotionnel), plus je me donne les moyens de réussir.
- Respect des principes de mon plan lors de son exécution (ne pas me laisser submerger par mes émotions).
Valider ou remettre en question mon projet en faisant le bilan : les résultats attendus (positifs comme négatifs), les mesures qui s’imposent, les moyens humains et matériels, les aléas.
Exemples de non-respect de mon plan :
- Ma décision de divorcer est justifiée dans mon analyse par une raison « x », mais elle s’avère motivée par ma volonté (consciente ou inconsciente) de ne pas me confronter à ma réalité : toute la validité de mon analyse est faussée.
- Ruiner mon futur ex à l’occasion du divorce et espérer garder une proximité avec lui par la suite relève de la pure naïveté. Trahir sa confiance brise profondément vos liens même si vous avez des enfants en commun.
4.0. Je valide mon analyse avec mon coach familial :
- Je suis adulte et vacciné, mais comment prétendre à une expérience dans le domaine du divorce ?
- Mon émotion altère mon discernement.
- De plus, je suis attiré par les solutions faciles.
- Absence d’impartialité si mes idées sont en jeu.
Différentes situations :
4.1. Ma décision ne change pas, mais mon analyse change mon regard sur la situation :
Probablement que mon analyse est équilibrée. Toutefois, si mon regard sur la situation n’a pas évolué, assurément que la qualité de mon analyse est à parfaire.
4.2. Mon analyse me fait changer de décision :
Je me corrige : on ne divorce plus, mais nous corrigeons nos erreurs, ou…contrairement à mon intention première, le mariage n’est plus sauvable, on divorce.
4.3. Pourtant, de nombreux couples divorcent sans se soucier de faire un plan d’action !
Le divorce relève d’un grand changement dans ma vie, je dois considérer toutes les options pour choisir le mieux pour ma famille.
4.4. Je consulte mon avocat pour décider de mon divorce :
Un expert judiciaire n’englobe pas l’expertise en relations familiales !
L’avocat est habilité à m’informer sur mes droits et non sur ma relation familiale.
4.5. Je m’améliore :
Mon analyse met en évidence le lien entre mes carences et mes désagréments :
Les relations familiales, conjugales, parentales et avec ma famille sont de nature différente.
- Par conséquent, je dois me pencher sur mon estime personnelle.
- Relation parents-enfants : je travaille sur ma posture de parent, sur la place des enfants, sur l’éducation.
- Crise du couple : trouver et respecter mon rôle et place de conjoint, m’investir à construire nos liens, réfléchir au sens de notre couple.
- Communication du couple : à défaut d’apprendre à échanger, un mur séparateur s’instaure entre conjoints et les échanges restent à l’état superficiel.
Nous pouvons vous coacher en développement personnel, dans la crise du couple, l’éducation et la relation parents enfants.
5. Ne pas sous-estimer la quantité d’efforts nécessaires au changement :
- Alors, je souffre du manque de partage émotionnel dans mon couple.
- Avec une communication familiale inexistante, on partage uniquement le toit. Comment renouer avec le dialogue ?
6.0. Nos prestations de conseil et de coaching familial :
- Consultation régulière : débattre d’une situation pour une analyse de fond, en présentiel ou en distanciel ; durée moyenne d’une heure ou plus.
- SOS crises en ligne et sans RDV : répondre à votre difficulté immédiate ou besoin du moment, en complément ou non de vos consultations régulières ; durée moyenne de 15 minutes ou plus.
Notre produit phare : l’accompagnement. Il marie nos consultations régulières pour une approche de fond à nos consultations SOS crises pour vous soutenir dans vos difficultés du moment, de sorte à trouver votre appui en tout temps.
Outre de vous accompagner dans votre quotidien, cette approche contribue à mettre en pratique dans votre cadre de vie réel les outils discutés en consultations régulières pour mieux vous les approprier.
Nos consultations régulières et SOS crises vous sont accessibles même en dehors d’un cadre d’accompagnement.
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