COACH FAMILIAL ou conseiller, 2 options ?

Coach familial ou Conseiller : 2 options

1.0. Coach conjugal ou conseiller familial, qui consulter ?

  1. J’identifie les solutions et les bras de leviers envisageables avec mon conseiller. 
  2. J’applique les mesures en agissant en autonomie si je suis capable de dépasser les obstacles.
Sans passer à l’action, rien ne changera !
Si les obstacles à franchir m’empêchent d’agir, je me fais accompagner par mon coach pour m’aider à les surmonter, ou alors, je reconsidère mon projet pour l’adapter à mes capacités.

2.0. Je choisis d’emblée de me faire accompagner par mon coach familial :

2.1. Prise en main rapide de la situation grâce à mon accompagnement familial :

J‘analyse la situation avec mon coach et nous identifions mes points de blocage.
Ainsi, il me donne des outils pour m’en sortir, me soutient et me supervise dans l’action.
Je pratique sous sa supervision en situation réelle.
Je surmonte mes difficultés et acquiers progressivement mon autonomie d’action.
De plus, je repose à tout moment sur son soutien sur simple appel grâce à son service SOS Crise.
 
Ma progression est palpable, pourvu que je m’investisse dans mon projet.

3.0 J’aimerais entreprendre seul mon projet et demande juste l’aide indispensable :

3.1 Je recours au professionnel uniquement pour identifier mes solutions :

2 options : j’analyse ma situation avec mon coach familial ou avec mon conseiller :

Je souhaite concrétiser seul mon changement. Je fais alors appel au professionnel des relations familiales (coach ou conseiller).
Si je doute de pouvoir mettre en œuvre les mesures, je fais mon analyse par précaution avec mon coach, car lui seul me soutient dans l’action.

3.2 Je fais ma propre analyse et la valide avec mon coach familial :

Ainsi, j’aimerais faire mon analyse et concrétiser en autonomie mes solutions, mais je désire valider la faisabilité de mon projet avec un professionnel :
Organiser un changement nécessite d’avoir une idée claire de mes objectifs, des enjeux et de la faisabilité.

Agir sans plan d’action (ou avec un plan irréalisable pour toute sorte de raison) me fait courir le risque de me trouver dans l’impasse.

3.2.1 Commencer par l’analyse :

Me comprendre en dressant une image réaliste : rester factuel en essayant de dépasser mes ressentis.
Je classe mes problèmes et mes solutions, mes émotions et mes envies, mon objectif principal.
Mesurer les moyens à mettre en œuvre dans la limite de mes capacités.

3.2.2 Mon analyse doit être complète :

J’hésite entre divorcer ou sauver ma famille, entre demander la garde partagée ou exclusive : à défaut d’étudier toutes mes options, je cours tous les risques d’aboutir à un diagnostic partial.

Diverses situations et questionnements à approfondir :

  • Estime de soi : je contextualise ce qui se joue en moi, ce qui semble provoquer mon émotion et ce que je ressens.
  • J’espère changer ici ou là, mais sans effet. M’interroger si je cherche vraiment le changement ? Mes actions réelles pour ce changement…
  • Ainsi, je souhaite divorcer, mais ai-je assez fait pour construire ou sauver mon mariage ?
  • Oui, je désire sortir de ma crise conjugale, néanmoins avec quels changements ?
  • Mon désir de divorcer va à l’encontre de l’intérêt de mes enfants :  rester et oublier ma personne ou surmonter ma culpabilité, quitte à exploser ma famille ?
  • De plus, nous souffrons d’une difficulté de communication dans notre couple. Par où commencer ?

Étapes importantes :

  1. Plus mon étude est affinée, mieux j’anticipe mes actions.
  2. En veillant à ne pas dépasser mes limites exigées par mon plan d’action (potentialité d’agir, affect émotionnel), plus je me donne les moyens de réussir.
  3. Respect des principes de mon plan lors de son exécution (ne pas me laisser submerger par mes émotions).

Ajuster mon projet en faisant le point : les résultats attendus (positifs comme négatifs), les mesures qui s’imposent, les moyens humains et matériels, les aléas.

Exemples de non-respect de mon plan :

  1. Ma décision de divorcer est justifiée dans mon analyse par une raison « x », mais elle s’avère motivée par ma volonté (consciente ou inconsciente) de ne pas me confronter à ma réalité : tout le fondement de mon analyse est faussée.
  2. Ruiner mon futur ex à l’occasion du divorce et espérer garder une proximité avec lui par la suite relève de la pure naïveté. Trahir sa confiance brise profondément nos liens même si nous avons des enfants que nous voulons préserver.

4.0. Je valide mon analyse avec mon coach familial :

Attention à ma subjectivité :
  • Je suis adulte et vacciné, mais comment prétendre à une expérience acquise dans le domaine du divorce alors qu’elle ne se rencontre qu’une à deux fois dans sa vie ?
  • Mon émotion altère mon discernement.
  • De plus, je suis attiré par les solutions faciles.
  • Absence d’impartialité si mes idées sont en jeu.
Pour diverses raisons, mon objectivité peut être fragilisée et évaluer mon projet par mon coach familial se justifie.
 
À présent, je dispose des informations nécessaires à ma prise de décision.

Différentes situations :

4.1. Ma décision ne change pas, mais mon analyse change mon regard sur la situation :

Probablement que mon analyse est équilibrée. Toutefois, si mon regard sur la situation n’a pas évolué, assurément que la qualité de mon analyse est discutable.

4.2. Mon analyse me fait changer de décision :

Je me corrige : on ne divorce plus, mais nous corrigeons nos erreurs, ou parfois…contrairement à mon intention première, le mariage n’a plus lieu de se maintenir, on divorce.

4.3. Pourtant, de nombreux couples divorcent sans se soucier de faire un plan d’action !

Le divorce se répercute sur toute ma famille, mon cas est particulier pour me comparer aux autres.

4.4. Je consulte mon avocat pour décider de mon divorce :

Un expert judiciaire n’englobe pas l’expertise en relations familiales !

L’avocat est habilité à m’informer sur mes droits et non sur ma relation familiale.

4.5. Je m’améliore :

Mon analyse met en évidence le lien entre mes carences et mes désagréments :

Les relations familiales, conjugales, parentales et avec ma famille sont de nature différente.

  • Par conséquent, je dois me pencher sur mon estime personnelle.
  • Relation parents-enfants : je travaille sur ma posture de parent, sur la place des enfants, sur l’éducation.
  • Crise du couple : trouver et respecter mon rôle et place de conjoint, m’investir à construire nos liens, réfléchir au sens de notre couple.
  • Communication du couple : à défaut d’apprendre à échanger, un mur séparateur s’instaure entre conjoints et les échanges se limitent à savoir qui va descendre la poubelle.

Nous pouvons vous coacher en développement personnel, dans la crise du couple et parentale.

5. Ne pas sous-estimer la quantité d’efforts nécessaires au changement :

  1. Alors, je souffre du manque de partage émotionnel dans mon couple.
  2. Avec une communication familiale inexistante, on partage uniquement le toit. Comment renouer avec le dialogue ?
Changer ma condition de vie me demande d’identifier le problème et de persévérer dans mes efforts pour le résoudre.
Même si les protagonistes refusent de s’investir avec moi dans le changement, ma volonté d’améliorer ma condition de vie m’oblige à travailler sur mon développement personnel.

6.0. Nos prestations de conseil et de coaching familial :

  1. Consultation régulière : débattre d’une situation pour une analyse de fond, en présentiel ou en distanciel ; durée moyenne d’une heure ou plus.
  2. SOS crises en ligne et sans RDV : répondre à votre difficulté immédiate ou besoin du moment, en complément ou non de vos consultations régulières ; durée moyenne de 15 minutes ou plus.

Notre produit phare : l’accompagnement. Il marie nos consultations régulières pour une approche de fond à nos consultations SOS crises pour vous soutenir dans vos difficultés du moment, de sorte à vous guider en tout temps.
Outre de vous soulager dans votre quotidien par SOS Crises, cette approche contribue à mettre en pratique dans votre cadre de vie réel les outils discutés en consultations régulières pour mieux vous les approprier.

Nos consultations régulières et SOS crises vous sont accessibles même en dehors d’un cadre d’accompagnement.

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